Rester compétitif : le leitmotiv de toute entreprise qui se veut pérenne et florissante. Pour rester dans le peloton de tête, les meilleurs ont déjà trouvé une solution : développer leur capacité d’adaptation face aux éternels aléas de leur marché, en misant sur une culture d’entreprise compétitive, réactive et propice à la créativité. Avec Livia Simoni, Coach Agile chez Wemanity et Manaelle Perchet, Head of Impact chez Wemanity, nous allons explorer les clés pour instaurer une culture d’entreprise favorable au changement et de manière durable.
1. La Culture Agile : qu’est-ce que c’est ?
La création d’un environnement fondé sur des valeurs, des comportements et des pratiques qui permettent aux organisations, aux équipes et aux individus d’être plus adaptatifs, flexibles, innovants et résilients face à la complexité, l’incertitude et le changement : c’est ça la culture Agile qui se décline en plusieurs méthodologies et pratiques à connaître, selon nos experts.
« Aujourd’hui, plus que jamais, nous sommes dans un monde Volatile, Incertain, Complexe et Ambigu (VUCA). Les entreprises doivent donc s’adapter en continu et infuser au sein de leurs équipes un mindset d’amélioration perpétuel. Ce n’est plus un “style” de management, c’est un enjeu primordial de pérennité. »
Manaëlle PERCHET, Head of Impact, Wemanity Group.
2. Comment développer une culture d’entreprise favorable au changement ?
« Avant tout un “cadre favorable au changement” c’est un cadre qui permet d’expliciter pourquoi il a besoin d’être changé. En rendant cela tangible, transparent, on peut rassembler autour. Et ensuite, ce cadre devrait permettre d’expérimenter, de faire du try and learn (essai/erreur), sans avoir peur de se tromper. Et effectivement en créant l’espace nécessaire pour que tout le monde puisse participer; tout en ayant des leaders convaincus qui eux-mêmes sont des rôles modèles. Ils sont la locomotive du train du changement, mais les wagons doivent aussi savoir où se rend le train et pourquoi. »
Livia Simoni, Coach Agile chez Wemanity
Impliquer les employés à tous les niveaux
Par sa nature, une culture ne peut exister sans regrouper un ensemble d’individus unis autour de valeurs communes et une mission dont la réussite repose sur l’effort collectif. La transformation (ou plutôt l’évolution) d’une culture d’entreprise n’est pas un phénomène passif, mais bien le résultat d’une coopération active d’acteurs en quête de réussite. La culture Agile se vit et s’écrit…
Personne sur le banc de touche
Dans un premier temps, il faut évidemment rassembler et donc impliquer l’ensemble des collaborateurs à tous les niveaux pour qu’ils fassent l’expérience d’une culture d’entreprise forte et au quotidien.
Mais impossible d’encourager la collaboration et l’innovation, sans changer la façon dont l’ensemble des collaborateurs et services interagissent au quotidien. Il s’agit donc de proposer un environnement avec des structures, des processus et des technologies qui facilitent leur pouvoir d’action et d’implication.
« Ces structures et processus doivent soutenir l’émergence des comportements qu’on souhaite encourager pour incarner les valeurs. Dans le sens où on crée un socle de valeurs, on encourage à les incarner, et du coup on met en place un cadre qui facilite leur incarnation et la transformation du souhait en réalité. »
Livia Simoni, Coach Agile chez Wemanity.
Faire en sorte que chaque personne puisse évoluer en respectant les valeurs d’une entreprise, c’est le cœur de la culture Agile.
Des Leaders sur le terrain
Néanmoins, un environnement qui rappelle ces valeurs ne suffit pas, il faut aussi les transmettre.
Pour que cela fonctionne, pas de choix, il faut se reposer sur le Leading Change : un Management qui ouvre la voie et montre l’exemple, en incarnant lui-même les valeurs, les changements et les comportements qu’il souhaite voir auprès des salariés.
Afin de travailler efficacement dans ce nouvel environnement digital et compétitif, les entreprises doivent investir dans la formation des managers pour leur donner les compétences nécessaires afin de fédérer l’ensemble de leurs collaborateurs autour des valeurs Agiles.
Pour une implémentation réussie, il est essentiel que les responsables de cette transition communiquent efficacement avec leurs salariés sur la nature de ces changements, l’utilisation de ces nouveaux outils et leurs objectifs. Ainsi, ils créeront des opportunités pour les membres de leur équipe, ainsi que pour l’entreprise dans son ensemble.
Livia Simoni, Coach Agile chez Wemanity.
« Manager, c’est un vrai métier ! Malheureusement, beaucoup occupent cette fonction sur le principe de l’ancienneté, sans pour autant avoir reçu la formation nécessaire pour un bon leadership… Au-delà de communiquer avec leurs salariés, ils doivent être sur le front avec eux. La meilleure com’ ne remplacera jamais une bonne démonstration. »
3. Faire preuve d’adaptabilité, ou plutôt… d’agilité
La capacité d’adaptation est la pièce maîtresse du jeu. La Culture Agile, c’est ne pas avoir peur d’explorer, d’échouer, d’apprendre de ses échecs et s’améliorer en continu. Les marchés sont une jungle et une entreprise doit être capable de se remettre en question constamment pour s’adapter rapidement et survivre aux changements.
Pour être prêt à tout, il faut faire preuve d’une redoutable capacité d’adaptation et d’amélioration de son produit, même en cours de production.
Prenons pour exemple, le développement en cascade (Waterfall), du traditionnel Iron Triangle pour le développement logiciel, qui considère qu’on va définir le scope du projet avant de le démarrer, alors que les ressources et le temps s’adapteront au fur et à mesure de l’avancée. Au contraire, les projets Agile ont un calendrier et des ressources fixes, tandis que leur scope varie.
La qualité du produit va donc être privilégiée afin qu’il réponde aux exigences de l’utilisateur et qu’il soit réellement un créateur de valeurs, dans le coût et le temps impartis.
4. Intégrer les technologies émergentes et favoriser l’innovation
La Culture Agile est une philosophie pour un leadership qui intègre et incarne le changement et qui doit donc s’adapter à l’évolution rapide du numérique et du digital.
L’intelligence artificielle, la blockchain, les API et la réalité augmentée, web3, etc., sont des fruits de la révolution digitale qui visent à améliorer l’efficacité opérationnelle des équipes et offrir des expériences clients distinctes.
Les entreprises doivent également être prêtes à constamment explorer de nouvelles technologies émergentes pour rapidement intégrer les plus pertinentes à leurs opérations. La mise en place de nouvelles technologies est un processus long à fort ROI. S’y prendre trop tard ou très tôt, creuse un écart décisif avec la concurrence.
Aujourd’hui, les nouvelles technologies arrivent et s’implantent si vite que les entreprises doivent se réinventer totalement et régulièrement pour rester dans la course et ne pas se faire surprendre par des concurrents plus à l’écoute de ces changements.
Un exemple récent est bien évidemment l’arrivée de ChatGPT qui a pris de court (et même effrayé) les entreprises du monde entier, alors que la technologie existe depuis plusieurs années…
5. Mettre l’accent sur l’expérience client, mais aussi celle du collaborateur
Cet article ne le soulignera jamais assez : l’expérience client est au cœur de la réussite sur tous les marchés.
Selon Forbes, 84 % des entreprises qui amélioreront leur expérience client observent une augmentation de leur chiffre d’affaires et les entreprises qui excellent dans l’expérience client ont 1,5 fois plus de salariés engagés que les entreprises moins axées sur le client.
Mettre le client au cœur de sa stratégie, c’est demander aux collaborateurs de se concentrer sur la compréhension des besoins de leurs clients, en utilisant des données pour personnaliser les interactions et en fournissant une expérience fluide et cohérente sur tous les canaux d’acquisitions.
Livia Simoni, Coach Agile chez Wemanity.
« Pourquoi j’ai envie de mettre mon client/utilisateur au centre de la conception de mon produit ? Parce que le client va là où le produit répond le plus exactement à ses besoins. Donc le plus sûr reste de vérifier quels sont les besoins en question. Se mettre dans ses chaussures, entrer en empathie pour pouvoir identifier à quel besoin on veut répondre, à quel problème on veut apporter une solution. Seulement ensuite on peut réfléchir à ce que sera ladite solution. »
Cependant, le collaborateur doit comprendre l’importance du succès des clients, mais ne doit pas se sentir lésé pour autant.
« Les méthodes Agiles permettent aux équipes de s’améliorer de façon continue, en intelligence collective, d’étendre la qualité de leur delivery, et d’augmenter la vélocité du projet. »
Manaëlle PERCHET, Head of Impact, Wemanity Group.
Par conséquent, l’une des externalités est d’aider les équipes à prendre les décisions de façon plus autonome que dans un management basé sur le command and control. À condition, bien sûr, qu’elles comprennent les objectifs, les processus fixés au préalable. Pourquoi ? Pour garantir que les décisions soient prises avec une rapidité proportionnelle aux besoins du client et en toute connaissance de cause.
La Culture Agile offre un environnement sûr permettant aux collaborateurs de prendre des initiatives réfléchies afin de résoudre des problèmes complexes. Elle encourage la collaboration et l’appropriation du profil client, en créant des équipes fières de leur domaine de travail et des clients dont elles s’occupent.
6. Établir des partenariats stratégiques et durables dans le temps
Si la Culture Agile est synonyme d’un regard constamment tourné vers l’avenir, elle est donc inhérente aux entreprises qui vivent avec leur temps, leurs enjeux et leurs valeurs. Elle entretient donc intrinsèquement une relation avec le développement durable.
Intégrer la RSE dans la stratégie globale de l’entreprise
La RSE regroupe l’ensemble des pratiques mises en place par les entreprises dans le but de respecter les principes du développement durable.
La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) est parfois considérée à tort comme une simple posture de communication. L’entreprise doit être économiquement viable, avoir un impact positif sur la société, dans le respect de l’environnement.
« La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) est encore trop souvent considérée comme une simple posture de communication ou d’obligation légale. Grande erreur. Pour agir comme un véritable levier de transformation durable des organisations, elle ne doit pas être cantonnée à ces fonctions, nécessaires, mais très insuffisantes. Cela doit au contraire passer par l’engagement et l’implication de toutes les fonctions de l’entreprise dans leur cœur de métier. C’est pourquoi nous parlons de plus en plus d’une RSE dite “intégrée”. »
Manaëlle PERCHET
Selon Intégrer Manaëlle PERCHET la RSE, c’est d’abord former ses équipes à l’évolution de leurs métiers, mais c’est surtout l’intégrer au sein de sa gouvernance, de ses process, de ses pratiques, et du quotidien de l’entreprise.
Évoluer vers une RSE dite “intégrée”, c’est réfléchir à élargir les critères de performance du projet aux 3Ps : Profit, People, Planet.
« Pour conclure simplement, faire évoluer sa culture d’entreprise vers un modèle agile, c’est être conscient des enjeux économiques, sociaux et environnementaux de ses parties prenantes, de ses projets, de ses services, etc., et les intégrer dans les critères de performance finaux pour en assurer la pérennité. »
Manaëlle PERCHET
Car, si le profit reste un critère de performance majeur, il ne se suffit plus à lui-même dans un monde VUCA. En effet, au regard du contexte actuel, de la pression sociale, légale, et environnementale, il est aujourd’hui (plus que jamais) crucial d’étendre les critères de performance de l’entreprise aux 3P mentionnés plus haut: Profit, People, Planet.
Cela implique de comprendre l’impact potentiel de la transformation sur les parties prenantes, et donc le prendre en considération le plus tôt possible, dès la phase d’idéation.
Utiliser la technologie pour promouvoir la durabilité
Utiliser la technologie pour promouvoir la durabilité, c’est par exemple :
• utiliser des outils de suivi des émissions de carbone du numérique pour mesurer et réduire leur impact sur l’environnement (mesure carbone du Système d’information, du cloud, de l’architecture, des applications, sites web, cycle de vie des équipements, etc.),
• utiliser des plateformes de collaboration en ligne pour réduire les déplacements et les émissions de CO2,
• utiliser des technologies de production durable pour réduire la consommation d’énergie,
• investir dans la diversité et l’inclusion et collaborer avec les parties prenantes.
Comment Wemanity transforme le monde du travail, de façon durable ?
« Wemanity permet aux entreprises de répondre aux nouvelles réglementations et de réduire leurs externalités négatives, notamment sur l’environnement. Nous accompagnons nos clients et partenaires dans la sensibilisation, la formation, la mesure, et la réduction des impacts du numérique sur l’environnement : D’abord parce que ce sujet nous tient à cœur et que nous l’appliquons à nous même, ensuite parce que le digital représente plus de 2,5% des émissions GES. Il est donc urgent d’agir. . »
Manaëlle PERCHET, Head of Impact, Wemanity Group.
Voici certaines des méthodes proposées par Wemanity :
1. Sensibilisations, Formations et Certifications
Wemanity propose des parcours adaptés à la maturité et aux enjeux de leurs clients à travers des outils de sensibilisation : Serious Games, Ateliers, Fresques du numérique, Escape Games… Des outils gamifiés pour sensibiliser, mesurer et réduire les impacts liés à la navigation web des employés (WeImpact Carbon), ou encore à travers les Certifications « GreenIT Etat de l’Art », « Ecoconception de service numérique », et « Accessibilité ».
2. Analyse du Cycle de Vie des équipements (ACV) et Benchmark GreenIT
Les objectifs analyse du Cycle de Vie des équipements (ACV) et benchmark GreenIT permettent de révéler les impacts de son Service des systèmes d’information (SI) et d’éveiller les consciences des équipes sur les 74 bonnes pratiques GreenIT. Ces méthodes permettent à la fois de comparer (positionner son entreprise par rapport à ses pairs), et d’agir (à travers un plan d’amélioration basé sur une analyse objective et rationnelle). Ainsi, les actions pertinentes et prioritaires sont ciblées, les progrès et résultats obtenus sont mesurés, la pression réglementaire est respectée et finalement, le ROI est amélioré.
3. Concilier Architecture des SI et environnement
Bien qu’invisible, le numérique à un impact réel sur l’environnement et le Green IT Architecture By Design est une approche qui vise à concevoir et à déployer des systèmes d’information respectueux de l’environnement. Cette approche s’inscrit dans une démarche de développement durable et vise à minimiser les impacts environnementaux des technologies numériques. Le Green IT Architecture By Design implique une réflexion sur les choix technologiques, les processus de développement et d’exploitation pour garantir une utilisation responsable et efficiente des ressources. C’est une opportunité pour les entreprises de s’engager dans une démarche responsable, de réduire leur empreinte environnementale et de contribuer à un monde plus durable. Adopter le Green IT Architecture By Design, c’est faire le choix de l’innovation durable pour un avenir plus vert.
4. L’Accessibilité Numérique
Wemanity accompagne et forme ses clients dans la création de sites web et de produits digitaux répondant aux exigences d’accessibilité et de conformité « A » à « AAA » et respectant les exigences des 4 normes du WCAG 2.1 : Perceptibles, Utilisables, Compréhensibles et Robustes.
5. Les APIs responsables et le API Green score
Wemanity est partenaire du collectif API Thinking qui avec le support du groupe Yves Rocher, ont tous les deux lancé un Label baptisé API Green Score. Leur objectif est de le pousser auprès du ministère chargé du numérique pour qu’il soit référencé et lui donner plus de crédit. (C’est le 1er label de son genre au monde) Wemanity dispose d’une tribe spécialisée dans les APIs (Application programming interface) en charge d’animer le partenariat avec le collectif et notamment de suivre les travaux sur l’API Green score. L’objectif de Wemanity est à la fois de diffuser en interne une pratique Green par des modules de formation sur le design et le déploiement des APIs, et également de pouvoir valoriser ces pratiques auprès de ses clients tels ENEDIS.
6. GreenFinOPS
Dans le cadre de sa tribe Tech & cloud, Wemanity propose une offre appelée Cloud Business office qui accompagne les clients à la fois sur le modèle opérationnel et la dimension technologique du Cloud. Le GreenFinOPS tient une place importante dans cette offre et permet au client de pouvoir : Informer, former, engager les équipes concernées (OPS, développeurs, squad) de l’importance de l’impact environnemental des choix. Mettre en place la gouvernance ainsi que les bonnes pratiques pour disposer régulièrement des données de mesure (consommation, impact carbone, ACV) et les mettre à jour. Concevoir et intégrer les outils permettant de remonter et exploiter ces mesurer afin de donner au client la visibilité sur ces infrastructures, la capacité de prendre les bonnes décisions et d’anticiper les évolutions. Cette offre se décline sur tous types d’infrastructure (Cloud multi-provider; AWS, GCP, Azure, Alibaba.. , hybride ou on premise).
La RSE est un sujet d’attention demandé par les clients et les salariés
Selon Forbes, 92% des clients seront plus enclins à faire confiance à une entreprise qui prend en charge les questions sociales ou environnementales.
De plus, selon le nouveau baromètre de la société de conseil dans la transition écologique Imagreen, en collaboration avec l’entreprise de sondage Kantar : “75 % des salariés des grandes entreprises ressentiraient un malaise face à l’inaction de leur entreprise dans la lutte contre la crise environnementale et la croissance des inégalités”.
Les entreprises doivent donc prendre en considération ces parties prenantes pour leur offrir des réponses et donner plus de sens à leurs actions.
7. Comment mesurer l’impact de la RSE ?
Toutes les entreprises peuvent mettre en œuvre une démarche RSE, et ce quelle que soit leur taille, leur forme juridique ou leur secteur d’activité. En fonction de leur Chiffre d’Affaires et leur nombre de salariés, certaines entreprises doivent mesurer et communiquer l’impact de leur RSE.
La France s’est dotée progressivement d’un cadre législatif et réglementaire pour prendre en compte la responsabilité sociétale des entreprises.
Selon economie.gouv.fr depuis l’entrée en vigueur de la loi PACTE du 22 mai 2019, de nouvelles dispositions sont entrées en vigueur pour renforcer la RSE :
- L’article 1833 du Code civil a été modifié afin que l’objet social de toutes les sociétés intègre la considération des enjeux sociaux et environnementaux.
- L’article 1835 du Code civil a été modifié pour reconnaître la possibilité aux sociétés qui le souhaitent de se doter d’une raison d’être dans leurs statuts.
- Le statut d’entreprise à mission a été créé.
Accélérer la transformation RSE des entreprises est la mission de WeImpact, RSE de Wemanity. Forts de nos expériences, nous avons à cœur de transmettre nos méthodes et pratiques permettant d’accélérer et mesurer le développement durable en l’intégrant à l’ensemble des métiers et savoir-faire de l’entreprise.
L’Agile ne se cantonne plus à des fonctions IT et s’étend à l’ensemble des équipes. Ce mindset et les méthodologies, si elles sont maîtrisées, permettent d’accélérer le changement, l’engagement, et la valeur créée sur les 3 critères de performance: Profit People, Planet.
La Culture Agile est un cap et non une destination, des articles comme celui-ci peuvent vous donner l’impression que le concept est facile à saisir, mais il est surtout difficile à maîtriser !
En résumé :
FAQ :
Qu’est-ce que la culture Agile et comment la développer au sein d’une entreprise ?
La culture Agile est un environnement fondé sur des valeurs, des comportements et des pratiques qui permettent aux organisations d’être plus adaptatives, flexibles, innovantes et résilientes face au changement. Pour développer une culture d’entreprise favorable au changement, il est essentiel de créer un cadre qui permet d’expliciter la nécessité du changement, d’encourager l’expérimentation et le try and learn, d’impliquer tous les employés à tous les niveaux et d’avoir des leaders convaincus qui incarnent le changement
Comment la culture Agile favorise-t-elle l’innovation et l’adaptabilité ?
La culture Agile encourage l’exploration, l’échec, l’apprentissage et l’amélioration continue. Elle permet aux entreprises de s’adapter rapidement aux changements et de rester compétitives. En intégrant les technologies émergentes et en favorisant l’innovation, les entreprises peuvent améliorer leur efficacité opérationnelle et offrir des expériences client distinctes. La culture Agile nécessite également une attention particulière à l’expérience client et à l’expérience des collaborateurs.
Comment intégrer la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) dans une culture d’entreprise Agile ?
Pour intégrer la RSE dans une culture d’entreprise Agile, il est important de former les équipes, d’intégrer la RSE dans la gouvernance, les processus et les pratiques de l’entreprise, et de l’intégrer au quotidien de l’entreprise. Une approche de RSE dite « intégrée » consiste à élargir les critères de performance de l’entreprise aux dimensions du profit, des personnes et de la planète (Profit, People, Planet). Il est essentiel de prendre en compte l’impact potentiel de la transformation sur les parties prenantes dès la phase d’idéation. Utiliser la technologie de manière durable et mesurer les émissions de carbone du numérique sont également des actions importantes pour promouvoir la durabilité.